« Gardera » : différence entre les versions
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En conséquence, il fait en fait assez bon vivre sur la planète Gardera, pour la plupart des gens. Il existe en prime des stations orbitales privées (notamment '''Sonasopa''', qui est une station luxueuse pour les gens qui comptent) et une grosse lune, '''Kolastaraï''' dont la gravité est presque normale est également colonisée. C'est le lieu où une partie de la production industrielle et des prolos et chômeurs désœuvrés de tous poils ont été délocalisés, en partie, à l'occasion d'un plan de sauvetage de l'intégrité écologique de Gardera. Cela devait être provisoire, pas plus de 70 ans, le temps de remettre leur habitat naturel en état. Les 70 ans sont passés de longue date et personne n'évoque le retour sur Gardera autrement que comme une blague. |
En conséquence, il fait en fait assez bon vivre sur la planète Gardera, pour la plupart des gens. Il existe en prime des stations orbitales privées (notamment '''Sonasopa''', qui est une station luxueuse pour les gens qui comptent) et une grosse lune, '''Kolastaraï''' dont la gravité est presque normale est également colonisée. C'est le lieu où une partie de la production industrielle et des prolos et chômeurs désœuvrés de tous poils ont été délocalisés, en partie, à l'occasion d'un plan de sauvetage de l'intégrité écologique de Gardera. Cela devait être provisoire, pas plus de 70 ans, le temps de remettre leur habitat naturel en état. Les 70 ans sont passés de longue date et personne n'évoque le retour sur Gardera autrement que comme une blague. |
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Le régime politique de type ploutocratie bureaucratique est très modéré, les inégalités maintenues dans des proportions raisonnables. C'est clairement l'un des coins les plus stables de ce côté-ci de l'espace colonisé. C'est aussi le coin où l'on s'ennuie le plus. La dépression est une sorte de sport local. Il n'y a pas de travail pour tout le monde, les pauvres sont entretenus chichement mais sans vraiment connaître la misère crasse. Grâce aux services de soin en grande partie gratuits, les pilules du bonheur maintiennent une partie de la population dans une sorte d'état larvaire constant. |
Le régime politique de type ploutocratie bureaucratique est très modéré, les inégalités maintenues dans des proportions raisonnables. C'est clairement l'un des coins les plus stables de ce côté-ci de l'espace colonisé. C'est aussi le coin où l'on s'ennuie le plus. La dépression est une sorte de sport local. Il n'y a pas de travail pour tout le monde, les pauvres sont entretenus chichement mais sans vraiment connaître la misère crasse. Grâce aux services de soin en grande partie gratuits, les pilules du bonheur maintiennent une partie de la population dans une sorte d'état larvaire constant. Les médias, la frime, les stars, le super cagnottes complètent le tableau. Du pain et des jeux en somme. |
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Gardera reste néanmoins un haut lieu de passage, beaucoup de vaisseaux et d'informations transitent par ce système. La Synarchie est assez présente. Même si elle ne se mêle pas des affaires locales, elle entretien un gros bureau dans une station orbitale spécifique ainsi qu'une flotte de vaisseaux de reconnaissance et de combat léger. Ce n'est pas tant qu'ils surveillent le coin mais c'est le lieu idéal pour analyser les informations transitant à bord des vaisseaux. |
Gardera reste néanmoins un haut lieu de passage, beaucoup de vaisseaux et d'informations transitent par ce système. La Synarchie est assez présente. Même si elle ne se mêle pas des affaires locales, elle entretien un gros bureau dans une station orbitale spécifique ainsi qu'une flotte de vaisseaux de reconnaissance et de combat léger. Ce n'est pas tant qu'ils surveillent le coin mais c'est le lieu idéal pour analyser les informations transitant à bord des vaisseaux et réagir rapidement. |
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Version du 23 janvier 2013 à 13:21
| Synarch | ||||
| Présentation | Description | Mondes | Matériel | Persos |
Gardera est un système solaire (et la planète principale) parmi les plus développés. Cette vieille colonie a réussi à rendre son atmosphère initialement respirable particulièrement polluée. Des projets de terraformation ont été lancés mais ils se heurtent à une difficulté de taille : l'activité humaine.
La planète connaît pourtant des zones particulièrement habitables sous de très nombreuses et vastes bulles. Le facteur de développement est tellement élevé que disposer d'un écosystème n'est même plus nécessaire.
En conséquence, il fait en fait assez bon vivre sur la planète Gardera, pour la plupart des gens. Il existe en prime des stations orbitales privées (notamment Sonasopa, qui est une station luxueuse pour les gens qui comptent) et une grosse lune, Kolastaraï dont la gravité est presque normale est également colonisée. C'est le lieu où une partie de la production industrielle et des prolos et chômeurs désœuvrés de tous poils ont été délocalisés, en partie, à l'occasion d'un plan de sauvetage de l'intégrité écologique de Gardera. Cela devait être provisoire, pas plus de 70 ans, le temps de remettre leur habitat naturel en état. Les 70 ans sont passés de longue date et personne n'évoque le retour sur Gardera autrement que comme une blague.
Le régime politique de type ploutocratie bureaucratique est très modéré, les inégalités maintenues dans des proportions raisonnables. C'est clairement l'un des coins les plus stables de ce côté-ci de l'espace colonisé. C'est aussi le coin où l'on s'ennuie le plus. La dépression est une sorte de sport local. Il n'y a pas de travail pour tout le monde, les pauvres sont entretenus chichement mais sans vraiment connaître la misère crasse. Grâce aux services de soin en grande partie gratuits, les pilules du bonheur maintiennent une partie de la population dans une sorte d'état larvaire constant. Les médias, la frime, les stars, le super cagnottes complètent le tableau. Du pain et des jeux en somme.
Gardera reste néanmoins un haut lieu de passage, beaucoup de vaisseaux et d'informations transitent par ce système. La Synarchie est assez présente. Même si elle ne se mêle pas des affaires locales, elle entretien un gros bureau dans une station orbitale spécifique ainsi qu'une flotte de vaisseaux de reconnaissance et de combat léger. Ce n'est pas tant qu'ils surveillent le coin mais c'est le lieu idéal pour analyser les informations transitant à bord des vaisseaux et réagir rapidement.